05/09/2025

Pourquoi les photos sont-elles cruciales pour un dossier de sinistre ?

À quel moment prendre les photos et comment s’y préparer ?

Vous venez de constater un dégât : une inondation, un vol, un incendie ou tout autre événement malheureux. Première question qu’on se pose : quand et comment prendre des photos ? La réponse la plus simple : dès que possible, et avant toute tentative de réparation majeure. Dans des cas extrêmes (un toit percé en pleine tempête), vous devrez peut-être faire un minimum de mesures conservatoires pour éviter l’aggravation du sinistre, comme couvrir le toit ou écarter l’eau. Cependant, veillez à photographier vos dommages avant ou au cours de vos interventions de protection, afin de garder une trace précise de la situation initiale.

Si vous attendez trop longtemps, le sinistre peut empirer ou changer d’apparence. Par exemple, dans le cas d’une infiltration d’eau, la peinture peut se gondoler davantage et la décoloration va s’étendre, ce qui rendra plus difficile d’identifier le point de départ exact du problème. Ou alors, si vous avez subi un cambriolage, les traces de forçage peuvent disparaître sous la poussière ou être modifiées par des manipulations ultérieures. Idéalement, vous devriez avoir un smartphone ou un appareil photo toujours prêt, quitte à stocker quelques clichés de la scène dès la découverte du sinistre.

Une astuce : si la luminosité est faible (pensez à certaines caves ou pièces mal éclairées), préparez une lampe de poche, utilisez un flash ou prenez plusieurs angles de vue pour être sûr de la netteté. Rappelons que l’obscurité est l’ennemie du détail, et qu’un cliché flou ou sombre ne sera pas vraiment utile à l’assureur. Veillez également à ranger tout objet superflu, histoire de rendre vos dégâts bien visibles et facilement compréhensibles. Le but est de pouvoir fournir une preuve irréfutable et la rendre la plus explicite possible.

Choisir la bonne résolution et optimiser la qualité des clichés

Peu importe la cause du sinistre, la question de la qualité des photos se posera. Inutile de se prendre pour un photographe professionnel, mais quelques bases s’imposent. Aujourd’hui, la majorité des smartphones offre une résolution suffisante, autour de 12 à 64 mégapixels. C’est largement assez pour obtenir des images nettes et détaillées. Cependant, vérifiez vos réglages : optez pour une résolution moyenne ou élevée, tout en faisant attention à ne pas générer des fichiers trop lourds. Les assureurs n’ont pas forcément envie de recevoir 50 clichés de 10 Mo chacun, surtout s’ils doivent les télécharger depuis une plateforme interne.

Ensuite, pensez à la mise au point : visez la zone endommagée, appuyez sur l’écran de votre téléphone pour faire le focus, et patientez une seconde ou deux. Des photos floues n’apporteront aucune preuve solide. Essayez également de varier les angles de vue et les plans : prenez une vue de près, pour montrer les détails de la casse ou de la trace d’humidité, et une vue plus large, pour resituer les dégâts dans leur contexte global. Par exemple, une fissure sur un mur peut paraître insignifiante en photo si on ne voit pas qu’elle traverse toute la pièce. Les experts apprécient d’avoir un aperçu d’ensemble afin de comprendre l’étendue du problème.

Reste la problématique de la luminosité évoquée plus haut : lorsque vous prenez des photos à l’intérieur, tâchez d’ouvrir les rideaux, d’allumer les lampes ou d’utiliser le flash. Personnellement, j’aime bien prendre 3 photos par endroit clé :

  • Une photo avec flash, pour dévoiler le relief
  • Une photo sans flash, pour un effet plus naturel
  • Une photo en plan large, pour le contexte

C’est une petite habitude, mais elle évite de se retrouver avec des images trop sombres ou surexposées, et permet au final de sélectionner la meilleure prise pour le dossier.

Comment légender ou décrire ses photos ?

Prendre des clichés, c’est bien. Les commenter correctement, c’est encore mieux. Les descriptions servent d’éléments de preuve renforcés : elles complètent visuellement vos propos et aident l’expert à comprendre la nature du dommage et ses causes approximatives. Il s’agit également de distinguer les photos qui se ressemblent. Il n’est pas rare qu’une infiltration d’eau sur plusieurs murs produise des images quasi identiques si vous ne notez pas la pièce concernée.

Pour légender, je vous recommande d’inscrire sur un petit papier (ou de taper sur l’ordinateur si vous générez un PDF final) : la date de la photo, la localisation précise (ex. ‘‘Mur nord du salon, fissure de 15 cm’’) et éventuellement une remarque sur la cause possible (ex. ‘‘Infiltration depuis la gouttière’’). De plus, si vous envoyez plusieurs photos par mail ou via une plateforme, n’hésitez pas à leur attribuer des noms significatifs :

  1. photo_salon_mur_nord.jpg
  2. photo_salon_plafond_fissure.jpg
  3. photo_cuisine_meuble_endommagé.jpg

C’est plus clair qu’un lot d’images nommées ‘‘IMG_0201, IMG_0202, IMG_0203…’’ qui ne parle à personne. Votre conseiller d’assurance vous en remerciera, et vous éviterez aussi des échanges supplémentaires pour clarifier quelle photo correspond à quelle pièce.

Mettre en avant les éléments clés et éviter les pièges courants

On se dit souvent qu’une photo suffit amplement. Or, quand il s’agit d’un dossier de sinistre, il vaut mieux être un peu trop complet que pas assez. Vous soupçonnez un problème de charpente ? Prenez bien le temps de photographier la zone concernée, mais aussi l’accès (trappe de toit, échelle, etc.), et le contexte (l’état du reste de la pièce ou du plafond). Souvent, un seul angle « zoomé » sur la poutre endommagée ne montrera pas si la situation est localisée ou bien généralisée.

Et si vous avez la possibilité d’utiliser des outils de mesure (un mètre ruban par exemple), prenez une photo où l’on voit la longueur, la profondeur ou la hauteur du dommage. Cela peut être extrêmement parlant pour l’expert. Ainsi, plutôt que d’écrire ‘‘la fissure fait environ 10 cm’’, vous prouvez qu’elle en fait 12 cm, mètre en main ! Même chose pour un dégât électrique : photographiez la prise, le boîtier ou le panneau disjoncteur correspondant, avec éventuellement l’étiquette qui spécifie le circuit.

Parmi les erreurs fréquentes, je vois souvent des gens oublier le contexte environnemental ou la globalité des dommages. Par exemple, après un incendie dans une pièce, on peut prendre uniquement un coin noirci, alors que l’ensemble de la pièce est teintée de suie. Ou après un dégât des eaux, la personne se concentre sur une tache d’humidité sur le sol, mais pas sur les murs alentour. Restez toujours conscient que vos photos doivent raconter une histoire cohérente à l’expert. Elles doivent répondre à la question : « Qu’est-ce qui s’est passé ici ? ».

Faut-il inclure d’autres types de documents visuels ?

Outre les simples clichés, il peut être pertinent d’ajouter des captures vidéo, des vues panoramiques ou même des schémas explicatifs tracés à la main. L’assureur demande avant tout des preuves visuelles, alors n’hésitez pas à être complet(e). Une vidéo d’une durée de 10 ou 15 secondes peut montrer le ruissellement d’eau le long d’un mur, ce qui est parfois plus parlant qu’une photo statique. Toutefois, dans la plupart des cas, les photos resteront l’élément principal ; la vidéo vient plutôt en complément si vous avez un doute pour rendre compte d’un mouvement (écoulement, oscillation d’une charpente, etc.).

Si vous réalisez un schéma pour clarifier la disposition des pièces ou la progression de l’incendie, scannez-le ou prenez-le en photo pour le joindre. Assurez-vous cependant que votre croquis est lisible : indiquez les murs, les ouvertures (fenêtres, portes) et l’échelle approximative si besoin. Cela peut faire gagner un temps précieux à l’expert d’assurance, qui se rendra mieux compte de la configuration des lieux avant même de se déplacer. Un schéma est souvent plus utile qu’une longue description textuelle.

Modifier ou retoucher ses photos : oui ou non ?

Une question qui revient souvent est celle de la retouche photo. Peut-on, et doit-on, retoucher les clichés avant de les soumettre à son assureur ? Ma réponse est nuancée : vous pouvez éventuellement éclaircir une photo trop sombre ou recadrer pour mettre le dégât en évidence, mais évitez toute retouche qui altérerait la nature même du dommage. Un cliché sur-saturé en couleurs ou artificiellement renforcé pourrait semer le doute : l’expert se demandera si vous n’avez pas exagéré la gravité de la situation.

Le but est de rendre vos images fidèles à la réalité, pas plus, pas moins. Ne vous amusez pas à supprimer des détails gênants ou à ajouter des effets de fumée pour dramatiser la scène. Outre les problèmes d’éthique, vous risquez de vous retrouver face à un refus de prise en charge si l’assureur découvre une manipulation frauduleuse. Vous pouvez ajuster la clarté, le contraste et recadrer pour une meilleure lisibilité, mais arrêtez-vous là. Vous voulez rester dans le cadre d’une présentation loyale et transparente de la situation.

Transmettre les photos : format, support et consignes pratiques

Une fois vos photos prêtes et légendées, il faut encore les envoyer. Chaque assureur propose ses canaux fétiches : certains préfèrent recevoir les fichiers via leur plateforme en ligne, d’autres accepteront des envois email, et quelques-uns peuvent encore demander un envoi postal sous forme de tirages papier. Vérifiez bien les recommandations sur votre contrat ou sur le site de votre compagnie. Dans la plupart des cas, la solution la plus simple sera de tout envoyer via un compte en ligne ou par email.

En termes de format, on privilégie généralement le JPEG (ou JPG) pour sa compatibilité universelle et son poids relativement léger. Évitez d’envoyer des fichiers bruts de type RAW, car ils sont trop lourds et pas forcément lisibles par tous les services. Assurez-vous qu’aucune de vos images ne dépasse les 5 ou 10 Mo, faute de quoi les serveurs de l’assureur pourraient refuser l’envoi. Si nécessaire, compressez légèrement vos photos tout en conservant une qualité raisonnable (85 % ou 90 % en JPG).

Pour vous assurer que votre dossier est complet, vous pouvez joindre un récapitulatif sous forme de fichier texte ou PDF, contenant la liste de vos photos, leurs légendes et une brève description du sinistre. Vous pouvez préciser par exemple : « Photo 1 : Mur salon, fissure horizontale de 12 cm », etc. À ce stade, un certain nombre de compagnies proposent de téléverser directement vos fichiers sur un espace en ligne dédié. Dans ce cas, suivez pas à pas leurs instructions pour éviter toute erreur.

Quels délais respecter pour maximiser ses chances de remboursement ?

En France, beaucoup de sinistres sont soumis à des délais d’envoi. Par exemple, pour un dégât des eaux, vous pourriez être tenu de déclarer le sinistre sous 5 jours ouvrés après sa découverte, ou 2 jours en cas de vol. Selon votre contrat, ces délais peuvent varier. Le non-respect du délai peut entraîner une déchéance de garantie ou des complications administratives. Moralité : ne tardez pas. Sitôt que le désagrément est constaté, déclenchez la déclaration et envoyez vos pièces justificatives en temps et en heure.

Bien entendu, les assurances sont censées prendre en compte certaines circonstances exceptionnelles, comme une hospitalisation suite à un accident, qui vous empêcherait de faire une déclaration dans les temps. Mais, ne comptez pas trop sur cette indulgence : dans la majorité des cas, il vaut mieux agir rapidement ou faire appel à un proche pour vous aider à constituer le dossier. Plus vous fournissez tôt les photos et documents, plus vite la procédure d’indemnisation pourra s’amorcer.

Dans certains cas, l’assureur peut missionner un expert pour venir constater lui-même les dommages, surtout s’ils sont importants ou complexes à évaluer. Cependant, même dans ce cas, fournir vos propres clichés dès le départ donne un aperçu de la situation à distance et peut faciliter une première estimation. Le mot d’ordre : ne pas perdre de temps en formalités floues.

Exemples concrets et anecdotes du terrain

Pour illustrer l’importance d’une bonne documentation photographique, j’ai compilé ci-dessous quelques anecdotes réelles glanées auprès d’entrepreneurs ou de particuliers dans mon entourage :

• Une amie restauratrice a fait face à un dégât des eaux dans sa cuisine. À force de vouloir « nettoyer avant de prendre les photos », elle a retiré une grande partie de la vaisselle endommagée et jeté les denrées alimentaires touchées par l’eau. Résultat : les clichés montraient un local presque propre, et l’expert a eu du mal à admettre l’ampleur des pertes subies. En conclusion, il est crucial de prendre des photos de l’état exact avant de laver ou de jeter quoi que ce soit, même si cela est contraire à nos réflexes de propreté.

• Un voisin a eu un sinistre dans son garage, avec de la suie recouvrant partiellement certains cartons. Il n’a photographié que la face visible de la boîte, sans vérifier l’état des objets à l’intérieur. Au moment de la visite d’expertise, quelques semaines plus tard, il était trop tard pour prouver qu’un électroménager était endommagé, car il faisait partie des articles cachés au fond. Morale de l’histoire : inspectez tout, et n’hésitez pas à ouvrir, vider ou démonter (quand c’est faisable et sans danger) pour démontrer l’étendue des dégâts.

• Un indépendant dans le domaine informatique a constaté un court-circuit sur un onduleur qui a grillé son serveur. Il a pris des photos, mais sous un mauvais angle où les brûlures n'étaient pas visibles. L’assureur a contesté le sinistre, arguant que l’équipement était peut-être simplement en panne d’usure. Heureusement, mon ami a pu retrouver des clichés plus explicites où l’on voyait clairement la zone noircie sur la carte mère, ce qui a fini par débloquer l’indemnisation.

Être proactif et rester en contact avec son assureur

Pour terminer, j’insiste sur le rôle proactif que vous pouvez jouer. Ne vous contentez pas de balancer un dossier de 30 photos dans la nature, puis d’attendre le dénouement. Prenez contact téléphonique avec votre conseiller, vérifiez qu’il a bien reçu toutes les pièces, demandez-lui si les photos lui semblent suffisantes ou si des précisions sont nécessaires. Montrez que vous êtes disponible pour fournir des informations complémentaires.

En étant réactif(ve) et à l’écoute, vous faciliterez non seulement le travail de votre assureur, mais vous optimiserez également les chances d’obtenir une indemnisation à la hauteur de vos attentes. En cas de besoin d’expertise complémentaire, vous pourrez prendre les devants : proposer d’envoyer une nouvelle photo, ou de briefer l’expert lorsqu’il passera sur place. Bref, la communication est la clé de tout.

Et si jamais votre assureur rechigne ou refuse certains points, n’hésitez pas à vous tourner vers un conseiller juridique, un médiateur, ou encore à solliciter un deuxième avis auprès d’un expert indépendant. Vous avez le droit de défendre vos intérêts, surtout si vous estimez que la valorisation de vos biens endommagés est sous-évaluée.

Combien de photos faut-il fournir ? La question du volume idéal

Une autre interrogation fréquente concerne la quantité de photos à joindre. Dois-je en envoyer 3 ou 30 ? Il n’y a pas de réponse unique : tout dépend de l’ampleur du sinistre. L’essentiel est de couvrir l’ensemble des dégâts de façon claire et cohérente. Pour un simple bris de vitre, 2 ou 3 prises de vue suffiront probablement (plan large, détail de la vitre brisée, vue de l’environnement). Pour un incendie majeur touchant plusieurs pièces, il faudra forcément multiplier les clichés, chaque endroit endommagé ayant besoin d’être documenté.

Le but n’est pas de noyer l’assureur sous 200 photos redondantes. Vous seriez le premier(ère) à vous perdre dans votre propre dossier. Mieux vaut miser sur la pertinence : 10 ou 20 clichés de qualité, bien légendés, valent mieux que 50 photos floues et désordonnées. Au-delà d’un certain volume, il peut être utile de créer un dossier structuré, voire un document PDF compilant toutes les images avec leurs descriptions.

D’après une étude interne menée par une compagnie d’assurance (étude, hélas, non publiée en intégralité), la qualité est perçue comme le facteur numéro un pour évaluer rapidement un sinistre, devant même la quantité. En clair, des images nettes, contextualisées, bien ordonnées, permettent de trancher plus vite qu’une montagne de clichés imprécis.

Se protéger légalement et sécuriser ses preuves

Dernier point à ne pas négliger : la conservation de vos preuves. Prenez l’habitude de stocker vos photos sur plusieurs supports (clé USB, disque dur externe, service cloud, etc.). Pensez à éviter le piège du smartphone qui tombe en panne et vous fait perdre toutes vos données. On ne compte plus le nombre de personnes qui se retrouvent dépourvues car leurs photos décisives étaient seulement accessibles sur un téléphone endommagé.

Par ailleurs, si vous le pouvez, conservez les clichés originaux, datés et géolocalisés. Certains appareils ou applications permettent de stocker ces métadonnées (date, heure, coordonnées GPS). Même si cela n’est pas systématiquement exigé, ces informations peuvent constituer un avantage supplémentaire en cas de litige, prouvant la date et l’endroit où les photos ont été prises. Et si vous expédiez par voie postale, gardez un double. On n’est jamais à l’abri d’un courrier égaré.

Enfin, prenez toujours soin de faire vos déclarations et envois de photos dans le respect du cadre légal : si une expertise contradictoire est demandée, vous devrez pouvoir produire la version non retouchée de vos images, ou prouver leur authenticité. La fiabilité de vos preuves sera un atout en cas de procédure plus tendue, surtout si le montant du sinistre est élevé (plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d’euros).

Mot de la fin : simplicité, clarté et réactivité

Que retenir de tout ça ? Pour constituer un dossier de sinistre solide, la règle d’or est la simplicité, la clarté et la réactivité. Prenez vos photos dès que possible, réalisez-en des clichés nets, notez consciencieusement chaque description, et transmettiez rapidement l’ensemble. Ne soyez pas timide sur les angles de vue et les détails critiques, mais n’inondez pas non plus l’assureur de prises inutiles.

L’idéal reste de vous mettre, l’espace d’un instant, dans la peau de l’expert qui va analyser votre dossier. Posez-vous la question : « Si je ne connaissais pas les lieux, verrais-je clairement les dégâts et leur gravité grâce à ces images ? ». Si la réponse est oui, vous avez fait le gros du travail. Un dossier photo bien préparé est un gage de sérénité, car vous saurez que votre assureur dispose de tous les éléments pour statuer au mieux.

Et si jamais vous avez encore des doutes, ou que vous craignez de mal faire, n’hésitez pas à contacter directement votre assureur avant de finaliser votre envoi. Parfois, un simple échange téléphonique suffit pour savoir si vous devez plutôt envoyer un PDF ou un lot de photos, si vous avez besoin de compléter avec un historique de l’entretien du bâtiment, etc. Mieux vaut être bien informé que de rater un angle important.

Voilà, j’espère que ce guide vous aidera à joindre des photos de dégâts de manière efficace dans votre dossier de sinistre. C’est une étape souvent cruciale, et un peu de méthode peut vous éviter bien des migraines. N’oubliez pas : vous êtes aux commandes de votre dossier, et avec des preuves claires, vous maximisez vos chances d’obtenir une indemnisation rapide et équitable. Prenez soin de vous, et à très bientôt pour d’autres conseils pratiques dans notre quotidien entrepreneurial !

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