13/08/2025
Bonjour à tous, c’est Julia. Aujourd’hui, je vous embarque dans un sujet qui me tient particulièrement à cœur : l’emballage écolo. Qui n’a jamais reçu un colis volumineux avec, à l’intérieur, un minuscule objet protégé par un amas de plastique bulle ? On se demande parfois si ce n’est pas un peu excessif de voir autant de plastique pour un si petit produit. D’ailleurs, certains d’entre vous se sont peut-être déjà dit : “Tiens, c’est dommage, je vais encore jeter ce plastique bulle à la poubelle, alors que je ne sais même pas s’il va être recyclé convenablement…”
Le plastique bulle est omniprésent dans le commerce en ligne, dans les magasins de bricolage ou même dans nos placards. Il est censé offrir une protection contre les chocs, rassurer le consommateur et garantir l’intégrité du produit. Toutefois, derrière cette façade protectrice, se cache un matériau dont l'impact environnemental est de plus en plus critiqué. Il est certes pratique, mais il est également produit à partir de ressources non renouvelables, et sa durée de vie dans la nature est quasi infinie. Difficile de fermer les yeux sur la pollution générée par les emballages plastiques qui finissent souvent enfouis ou incinérés.
Ici, j’aimerais vous montrer qu’il existe une alternative simple et plus verte : le carton alvéolé. Dans une logique de réduction des déchets et de recherche de solutions respectueuses de l’environnement, ce dernier apporte une réponse concrète. Que vous soyez un artisan, un e-commerçant ou simplement un particulier soucieux de limiter sa production de déchets, le carton alvéolé offre un potentiel d’innovation pour rendre vos emballages plus responsables. Et si, ensemble, on optait pour un mode d’expédition plus vert ?
Si vous n’avez jamais entendu parler du carton alvéolé, imaginez un peu la structure du nid d’abeilles. Vous visualisez ces petites alvéoles hexagonales régulières qui renforcent la solidité générale du nid ? Le carton alvéolé est né d’un concept similaire. Il s’agit en général d’un carton (souvent recyclé ou recyclable) conçu pour présenter une structure intermédiaire en forme d’alvéoles. Cette configuration lui confère une robustesse remarquable, tout en utilisant moins de matière que le carton traditionnel de même épaisseur.
Le secret de ce matériau ? En gros : dans le carton alvéolé, vous avez plusieurs couches. Deux surfaces planes – un peu comme dans le cas du carton classique – et, entre ces deux feuilles, une structure en cellules hexagonales ou rectangulaires. C’est cette forme “en nid d’abeilles” qui apporte un amorti surprenant et une résistance à la compression qui peut même surpasser certains plastiques. Résultat : vous pouvez caler, emballer et protéger vos objets, sans pour autant vous encombrer d’un matériau issu de la pétrochimie.
Sur le plan environnemental, le carton alvéolé est généralement fabriqué à partir de fibres de bois, parfois recyclées. Il est donc plus aisément compostable, recyclable ou biodégradable, à condition que les conditions de tri soient respectées. Pour vous donner une image concrète : un colis protégé par du carton alvéolé peut se débrouiller pour amortir les chocs et chuter sans trop de risques, tout en évitant le recours au plastique bulle classique qui mettra des centaines d’années à se dégrader dans la nature.
Dans un monde où l’e-commerce se développe à vitesse grand V, il est essentiel de pouvoir protéger correctement le contenu des colis. Le carton alvéolé est étonnamment performant en termes de robustesse. Il bénéficie d’une structure interne pensée pour diffuser et absorber les chocs. Vous n’aurez plus besoin de multiplier des couches de plastique bulles ; une épaisseur adaptée de carton alvéolé peut suffire, à condition d’évaluer correctement les contraintes de votre marchandise.
Cette solidité se remarque particulièrement quand vous manipulez un grand volume de produits sur des palettes. Vous pouvez superposer les boîtes sans que celles-ci ne s’écrasent sous le poids, à la seule condition que l’épaisseur soit bien calibrée. D’ailleurs, certaines grandes marques utilisent déjà ce type de carton pour leurs calages internes et pour remplacer non seulement le plastique bulle, mais aussi les particules de calage en polystyrène ou en mousse.
Pour vous donner une échelle chiffrée, sachez que des études menées par certains fabricants de carton alvéolé mettent en avant une résistance à la compression pouvant aller jusqu’à 20 tonnes par mètre carré pour des modèles de très haute densité. Bien sûr, tout dépend de la qualité du carton et de ses dimensions, mais cela reste un indicateur solide (sans mauvais jeu de mots) pour tout entrepreneur qui souhaite sécuriser l’expédition de ses produits sans s’inquiéter de leur état à l’arrivée.
Un autre gros point fort du carton alvéolé, c’est son impact écologique réduit. Contrairement au plastique bulle, qui est issu du pétrole et qui met des siècles à se dégrader, le carton alvéolé se recycle plus facilement et peut même être réutilisé pour d’autres fonctions. De plus, la majorité des usines produisant ce type de carton intègrent déjà des fibres recyclées dans leur process industriel. Quand on sait que la gestion de la fin de vie des emballages est cruciale pour l’empreinte carbone globale, on apprécie forcément cette approche plus verte.
En termes de volume de déchets, adopter le carton alvéolé vous permet de réduire considérablement la quantité de plastique que vous mettez sur le marché. Au vu des enjeux liés à la réduction des déchets, c’est un geste précieux. Imaginez le nombre de colis envoyés chaque jour en France : plusieurs millions ! Si tous passaient du plastique bulle au carton alvéolé, ce serait un pas de géant pour diminuer notre dépendance aux emballages plastiques.
Par ailleurs, certains cartons alvéolés sont conçus pour être pliables en fin d’utilisation, ce qui facilite le transport pour le recyclage. Vous pouvez compresser facilement les matériaux pour qu’ils prennent moins de place dans votre benne dédiée aux cartons. Dans un cadre professionnel, ce gain de place peut être un avantage logistique non négligeable, sans compter que le tri en interne est plus intuitif : “Tout ce qui est carton, on le met au même endroit.” Fini les doutes : “Est-ce que ce plastique se recycle ? Où dois-je le jeter ?”
Rien n’étant parfait, il est honnête de reconnaître que le carton alvéolé peut présenter quelques inconvénients. D’abord, son coût peut parfois être légèrement plus élevé que certains plastiques bulles, surtout si vous recherchez une qualité de carton haut de gamme. Toutefois, ce surcoût tend à diminuer au fil du temps, à mesure que la demande s’accroît et que la production se développe à grande échelle.
Ensuite, le carton alvéolé nécessite un certain niveau d’attention pour être manipulé dans les règles de l’art. Quand on a l’habitude d’utiliser du plastique bulle, on déroulait simplement la longueur voulue et on l’enroulait autour de l’objet, sans trop se poser de questions. Avec le carton alvéolé, il faut parfois mesurer, couper et plier un peu plus précisément. Pour éviter que cette étape ne vous prenne trop de temps, il existe heureusement des versions prédécoupées ou des rouleaux de carton alvéolé équipés d’une « face extensible » pour s’adapter aux formes.
Autre point à ne pas négliger : l’impression d’esthétique. Le plastique bulle, quand il est neuf, a un petit côté transparent et presque “propre” qui rassure certains clients. Le carton alvéolé, lui, a une apparence plus brute. Youpi, c’est plus écologique, mais il peut paraître moins “gracieux” à l’ouverture du colis. Pour compenser cela et renforcer l’image de votre marque, vous pouvez personnaliser votre carton (avec un tampon, par exemple) ou utiliser une étiquette qui explique la démarche éco-responsable. Un argument marketing et pédagogique efficace.
Abordons quelques données chiffrées, histoire de bien appréhender l’ampleur du changement que l’on peut opérer en délaissant le plastique bulle. D’après un rapport de 2020, on estime que plus de 8 millions de tonnes de plastique finissent dans les océans chaque année, toutes formes confondues. Même si le plastique bulle n’est qu’une fraction de ce total, l’équation est simple : toute réduction de l’utilisation des plastiques à usage unique contribue à limiter cette pollution.
Toujours selon certaines estimations, il se vend près de 150 000 tonnes de plastique bulle par an en Europe, à destination des professionnels et particuliers. À l’inverse, l’utilisation de carton alvéolé est encore relativement marginale malgré une croissance soutenue. Les fabricants et distributeurs notent une augmentation de 20 % d’une année sur l’autre sur le marché français. Cette tendance se nourrit notamment des politiques RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) qui poussent à l’adoption d’emballages recyclables ou biodégradables.
En termes de réduction de l’empreinte carbone, les études varient. Certains avancent qu’utiliser une tonne de carton recyclé plutôt que du plastique vierge permet d’économiser environ 1,5 tonne d’émissions de CO₂. D’autres affirment qu’une boîte en carton alvéolé nécessite jusqu’à 30 % de matière en moins qu’une boîte en carton standard de solidité équivalente. Au-delà de la bataille de chiffres, il est clair que le carton alvéolé séduit de plus en plus les adeptes d’une économie circulaire et que passer au carton au lieu du plastique constitue un geste positif pour la planète.
Vous vous dites : “C’est chouette tout ça, mais par où commencer ?” Allez, je vous embarque dans des conseils pratiques. Passer du plastique bulle au carton alvéolé ne s’opère pas en un claquement de doigts, mais c’est loin d’être la mer à boire.
D’abord, prenez le temps de faire un petit audit de votre chaîne emballage : combien de colis envoyez-vous par jour, par semaine ou par mois ? Quelles sont les tailles les plus fréquentes et le poids moyen de vos envois ? Quelles gammes de produits nécessitent un calage particulier ? Comme dans toute transition, plus vous disposez d’une bonne vision d’ensemble, mieux vous adaptez vos besoins.
Ensuite, je vous recommande de commander quelques échantillons de carton alvéolé auprès de fournisseurs spécialisés. Testez différentes épaisseurs, car un carton alvéolé de 10 mm d’épaisseur n’offrira pas la même protection qu’une version de 25 mm, évidemment. Vous verrez vite ce qui convient le mieux selon la fragilité de vos produits. Il est parfois intéressant de prévoir plusieurs gammes de carton : un fin pour les produits légers, un plus épais pour les objets lourds ou vulnérables.
Point important : si vous craignez de ne pas obtenir le même niveau d’amorti qu’avec du plastique bulle, vous pouvez placer une première couche de carton alvéolé autour de l’objet, puis en ajouter une seconde dans le fond du carton d’expédition. Vous créez ainsi une sorte de double barrière contre les chocs et vous rassurez vos clients.
Laissez-moi vous partager l’exemple d’une amie artisane, Sophie, qui fabrique des céramiques décoratives. Il y a encore six mois, elle utilisait beaucoup de plastique bulle pour envelopper ses bols, assiettes et vases avant de les expédier. Les retours de ses clients étaient positifs concernant la qualité de la protection, mais certaines personnes s’étonnaient que des articles artisanaux, censés être “responsables”, soient emballés dans tant de plastique.
Piquée au vif, Sophie a découvert le carton alvéolé. Au début un peu septique, elle en a commandé en rouleaux. Après quelques essais, elle a réalisé qu’il suffisait de choisir une épaisseur adaptée pour que le colis soit résistant. Les premiers tests d’expédition ont montré que ses céramiques arrivaient en parfait état. De plus, elle a pu expliquer à ses clients qu’ils pouvaient revaloriser ou recycler aisément le carton après réception. En prime, elle a posé un petit tampon de sa marque sur la surface du carton, ce qui ajoutait un côté plus “authentique” à l’ouverture du colis.
Après deux mois d’utilisation, Sophie a constaté que ses coûts n’avaient que très peu augmenté. Certes, l’achat de carton alvéolé restait légèrement plus cher que le plastique bulle, mais elle avait ajouté un forfait écologique modique au total du panier, qu’elle justifiait en toute transparence. Bilan : aucune plainte, et même des retours enthousiastes de sa clientèle. Cette transition a contribué à renforcer son image de marque éthique et responsable, et ce, sans mettre en péril son budget.
Dans les premiers temps, certains entrepreneurs commettent des maladresses qui pourraient compromettre la qualité de la protection de leurs produits ou faire grimper le budget. Pour vous éviter quelques frustrations, voici quelques mises en garde :
Enfin, je le répète souvent sur ce blog, mais pensez à mesurer vos indicateurs de réussite. Combien de plastique avez-vous pu éviter ? Avez-vous constaté une réduction du volume global de déchets ? Les retours clients sont-ils plus positifs ? C’est en suivant ces marqueurs que vous verrez concrètement l’impact de votre transition écologique, et que vous pourrez ajuster le tir si nécessaire.
Pourquoi se contenter de protéger bien ses produits quand on peut en faire un véritable outil de communication ? Lorsque vous choisissez d’adopter le carton alvéolé, pensez à la dimension design. Un emballage soigné, bien disposé, peut créer un “effet waouh” à l’ouverture : on ne le soupçonne pas toujours, mais l’unboxing joue un rôle dans la satisfaction client, surtout dans un monde où les achats en ligne explosent et où les avis clients sont cruciaux.
Pour donner un exemple, vous pourriez ajouter une touche de personal branding : un autocollant, un tampon ou un petit flyer qui explique en quoi votre emballage est plus responsable. De mon côté, j’ai expérimenté cet ajout sur quelques produits test que j’ai expédiés, et j’ai été agréablement surprise des retours. Certains m’ont dit : “Super de voir que tu prends soin de l’environnement ! Ça donne envie de recommander.” Bref, rien de tel qu’un packaging écolo bien pensé pour booster la satisfaction client et votre réputation.
En tant qu’entrepreneure, je sais combien chaque euro compte. L’adoption du carton alvéolé n’est pas seulement une démarche altruiste pour la planète, c’est aussi un investissement dont les retombées peuvent être positives sur le plan commercial. D’abord, vous vous démarquez de la concurrence en proposant une solution d’emballage plus écologique. Ensuite, vous êtes en conformité avec les réglementations et les préoccupations grandissantes concernant la réduction des plastiques.
En France, on voit fleurir des initiatives législatives visant à taxer davantage certains matériaux polluants ou à encourager la réduction des déchets. Être en avance sur ces questions peut vous éviter de futures complications légales ou financières. En plus, la tendance RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ne fait que se renforcer. Les consommateurs sont de plus en plus sensibles à la transparence et aux engagements environnementaux des marques, et ils n’hésitent plus à boycotter celles qui tardent à s’aligner sur ces attentes.
Donc, en passant au carton alvéolé, vous vous positionnez clairement comme une entreprise qui prend en compte ses responsabilités. C’est un atout dans vos présentations commerciales, dans votre communication digitale et lors de salons ou de rencontres professionnelles. Vous pourrez même lister ce point dans votre rapport RSE et l’étayer avec des chiffres précis : volume de plastique économisé, réduction de la quantité de déchets non recyclables, etc. Au final, c’est une stratégie gagnant-gagnant : vous protégez la planète tout en renforçant votre image de marque.
Eh oui, il ne suffit pas de changer simplement de matériau. Encore faut-il expliquer à vos clients le sens de cette transition. Or, la plupart des gens ne connaissent ni les détails de la composition du plastique bulle ni les subtilités du carton alvéolé. Alors, pour éviter tout malentendu ou pour susciter un sentiment positif, n’hésitez pas à mettre en avant votre initiative :
Par exemple, ajoutez une ligne dans vos fiches produits : “Pour protéger la planète, votre commande est emballée dans un carton alvéolé recyclable.” Ou insérez un petit message dans votre confirmation de commande : “Nous avons remplacé le plastique bulle par un carton alvéolé, plus sûr pour vos produits et moins nocif pour l’environnement.” Vous pouvez également préciser à vos clients comment disposer du carton après usage : “Déposez-le dans la poubelle de tri avec vos autres cartons.” C’est tout bête, mais ça participe à l’éducation écologique de chacun.
Certains entrepreneurs vont plus loin et font des vidéos de démonstration sur leur site ou sur les réseaux sociaux, montrant comment ils emballent leurs produits. C’est un format ultra pédagogique et ludique, qui permet à tous de comprendre pourquoi le plastique bulle n’est plus dans la course. Et si vous aimez innover, vous pouvez même proposer un guide de réutilisation du carton alvéolé : “Voici comment upcycler votre emballage pour en faire du rembourrage, ou comment le découper pour créer des séparateurs de tiroirs.” Bref, à vous de voir le degré d’implication que vous souhaitez avoir et le canal de communication le plus adapté.
On s’en doute, le carton alvéolé ne sera pas la seule alternative à émerger. Partout dans le monde, des chercheurs, des entrepreneurs et des industriels planchent sur des emballages faits à partir de champignons (myco-matériaux), de résidus végétaux ou d’algues. Le but ? Trouver des emballages qui se dégradent rapidement dans la nature ou qui peuvent s’intégrer dans un système de compostage. Dans ce contexte, le carton alvéolé occupe déjà une place forte pour tous ceux qui souhaitent agir concrètement et sans attendre que la “solution miracle” arrive.
Mon intuition, c’est que nous allons assister à une multiplication des solutions dans les prochaines années, chacune adaptée à un type d’usage. Le carton alvéolé, lui, a déjà fait ses preuves dans l’emballage de produits fragiles et dans le calage de colis. Les fabricants rivalisent d’ingéniosité pour proposer des versions plus légères, plus résistantes à l’humidité ou encore plus faciles à imprimer. À l’horizon 2030, on peut parier que le plastique bulle ne sera plus qu’un lointain souvenir pour bon nombre d’entreprises, tant il est décrié pour son empreinte environnementale.
En parallèle, je fais le pari que les clients finiront par exiger, de manière systématique, un emballage minimaliste et écologique. On le voit déjà : des sites d’e-commerce mettent en avant, dans les fiches produits, la mention “Eco-packaging” ou “Zero plastic inside”. Motiver un consommateur à valider son achat passe maintenant par la cohérence des valeurs, et l’impact environnemental fait partie, de plus en plus, des critères d’achat. Retenez donc qu’en basculant vers le carton alvéolé, vous anticipez un mouvement inéluctable.
Vous l’aurez compris, je suis intimement convaincue que le carton alvéolé est une réponse pertinente pour limiter notre usage de plastique bulle. Il offre une solidité surprenante grâce à sa structure en nid d’abeilles, protège efficacement les marchandises pendant le transport et se montre bien plus respectueux de l’environnement. Que vous soyez obligés d’envoyer des objets fragiles, que vous souhaitiez soigner autant la protection que l’image de votre marque ou que vous cherchiez simplement à réduire votre empreinte carbone, ce type de carton vaut largement le coup d’être exploré.
Encore une fois, un changement de ce type se prépare, s’anticipe et se communique. Vous aurez peut-être à revoir certaines méthodes de calage, à former votre équipe, à adapter vos tarifs ou à réorganiser vos espaces de stockage. Vous pourriez également prendre le temps de rédiger un petit paragraphe sur votre site ou sur vos supports marketing pour expliquer le pourquoi du comment. Croyez-moi, pour l’avoir fait moi-même, cela vaut la peine : répondre dès maintenant à la demande croissante d’emballages durables, c’est non seulement contribuer à la préservation de l’environnement, mais c’est aussi donner un petit coup de fouet à votre image de marque.
Et si vos clients vous posent la question : “Pourquoi remplacer le plastique bulle par du carton alvéolé ?”, vous pourrez leur répondre tout simplement : “Parce que c’est plus écologique, plus recyclable et tout aussi fiable pour protéger vos produits preferés.” Sur ces mots, je vous souhaite une belle transition vers des pratiques plus responsables et, surtout, beaucoup de succès dans cette aventure entrepreneuriale. Vous verrez, il y a de quoi être fier quand on prend conscience du nombre d’emballages qu’on évite de gaspiller jour après jour !
Pour en savoir plus ou comparer différents fournisseurs, je vous invite à consulter la rubrique “Ressources” sur mon blog. Vous y trouverez, entre autres, un lien vers un guide comparatif : Guide pour optimiser votre tri et vos emballages.